vendredi 15 juin 2012

Dimanche 17 juin 2012 second tour des élections législatives : tout est possible si vous le décidez !

"Chères Villeurbannaises, chers Villeurbannais,

Dimanche dernier vous avez été presque 10 000 à m’accorder vos suffrages en  me qualifiant avec 24.3% des voix au second tour des élections législatives,  ce témoignage de confiance m’honore et je tenais dans un premier temps à  vous remercier, à remercier tous les Villeurbannais qui ont voté pour moi au  premier tour.

Je vous invite à présent à renouveler avec détermination votre geste ce  dimanche 17 juin, pour l’avenir de Villeurbanne et celui de la France.

J’appelle, dans le même sens, toutes celles et tous ceux qui se sont  abstenus au premier tour ou ont voté pour un candidat non présent au second  tour à me soutenir dans ma démarche et m’apporter leur suffrage au second  tour.

Je suis désormais la seule candidate du renouvellement et du changement à  Villeurbanne dans cette élection et je compte bien le faire valoir dans l’intérêt général. Soucieuse pour nos finances publiques et pour la fiscalité qui  risque d’accabler très rapidement beaucoup de Français, pour la croissance  et pour nos emplois qu’il convient de défendre, pour notre sécurité, notre  tranquillité et notre cadre de vie, j’appelle tous celles et tous ceux qui  ne veulent plus d’une politique socialiste, dont nous connaissons bien les  tenants et les aboutissants, à s’unir, à Villeurbanne et aujourd’hui,  derrière moi. Il faut envoyer un signe fort à l’Assemblée nationale, et à un  système local qui veut tous les pouvoirs et n’a pourtant rien fait pour  protéger Villeurbanne et promouvoir sa croissance depuis 40 ans.

Je veux qu’ensemble nous construisions la France de demain. Avec vous, tout  est possible. Je compte sur vous pour que ce dimanche 17 juin 2012, un  renouvellement politique arrive à Villeurbanne et pour la France !

Avec toute ma reconnaissance et ma détermination.

Emmanuelle HAZIZA
Candidate du Rassemblement de la Droite et du Centre à Villeurbanne.
Conseillère municipale et benjamine du Conseil Municipal de Villeurbanne. "

Débat du second tour des élections législatives, le vendredi 15 juin 2012 à 20h45 sur TLM


Je vous invite à suivre le débat du second tour des élections législatives organisé et diffusé par TLM ce vendredi 15 juin à 20h45. 


Retrouvez le débat sur ce lien :http://www.tlm.fr/Revoir-une-emission?pgid=9724443


Meeting du second tour des élections législatives au CCVA le jeudi 14 juin 2012



Article du journal Le Progrès en date du vendredi 15 juin 2012 



« Seuls les combats qu’on ne mène pas sont perdus d’avance. » Emmanuelle Haziza, candidate UMP, entend bien ne pas baisser les bras d’ici le second tour des élections législatives dimanche. Hier soir, au centre culturel, après un discours de soutien chaleureux d’Henry Chabert, candidat en 2007, la jeune conseillère municipale l’a martelé en présence d’une cinquantaine de sympathisants. « Il n’y a pas de fatalité à voter à gauche dans notre ville », a-t-elle souligné, présentant à ses auditeurs ses valeurs et son projet. « Il reste deux jours pour être les premiers. C’est possible et c’est à notre portée », estime Emmanuelle Haziza, désireuse de convaincre indécis et abstentionnistes de se rendre aux urnes pour permettre un « renouveau ».

« Enfant de Villeurbanne », la candidate « considère que l’élu est là pour servir ses concitoyens » quand ses adversaires politiques, juge-t-elle, « considèrent que Villeurbanne est leur fief ». Si elle est élue, la jeune femme aura à cœur de prendre en compte une nécessité - le désendettement du pays - et d’agir en fonction de trois priorités : la sécurité, le logement et l’emploi. Trois domaines dans lesquels son projet, celui de l’UMP, la place en désaccord avec les orientations du Parti socialiste. Dimanche, les électeurs auront, selon elle, « la dernière occasion d’empêcher la concentration des pouvoirs entre les mains d’un seul parti ».

Discours du 14 juin 2012 au CCVA 



"Mesdames, Messieurs, Chers amis,

Quel plaisir de nous retrouver ensemble ce soir, quel plaisir de sentir votre motivation, votre énergie, votre détermination.
Dimanche, la confiance de 10.000 Villeurbannaises et Villeurbannais ont placé les valeurs et le projet que nous portons pour la France, avec Jean-Paul REGNAULT, mon suppléant, dans la 6e Circonscription du Rhône. Il nous reste 2 jours pour être les premiers ! C’est possible ! C’est à notre portée !

Mon histoire personnelle, mes engagements, notamment associatifs auprès d’anciens combattants et déportés n’ont cessé de guider à chaque instant mes pas dans cette élection législative.
Ils m’ont également donné la conviction que seuls les combats que l’on ne mène pas sont perdus d’avance et qu’il n’est plus beau combat que de se mobiliser de toutes ses forces, jusqu’à la dernière seconde pour son pays, pour ses concitoyens.

Si je me suis engagée. Si je me suis présentée à cette élection. Si je suis devant vous ce soir c’est pour Villeurbanne, c’est pour la République, c’est pour la France !

1.     VILLEURBANNE

Je suis une enfant de Villeurbanne. J’y suis née et j’y ai grandi. Contrairement à nos adversaires, pour moi Villeurbanne n’est pas réduit au statut de fief électoral, c’est ma vie !

27e ville de France, Villeurbanne n’a ni le rayonnement, ni les responsables politiques qu’elle mérite.

Conseillère municipale depuis 2008, je constate chaque jour un peu plus à quel point les élus socialistes et verts de Villeurbanne ont oublié depuis des décennies le sens de l’action publique et de l’engagement politique.

Au pouvoir municipal depuis plus de 150 ans et mandataires du pouvoir parlementaire dans la circonscription quasiment sans aucune interruption depuis 50 ans, ils considèrent que Villeurbanne leur est acquise, que Villeurbanne leur appartient.
Ils considèrent que c’est aux électeurs de servir leurs ambitions personnelles d’élus. Je considère que l’élu est là pour servir à chaque instant ses concitoyens et non l’inverse. Le temps du changement est venu.

En pensant que Villeurbanne leur était à jamais acquise, ils ont perdu le sens du service, allant jusqu’à oublier l’héritage de leurs propres prédécesseurs. Charles HERNU ne pourrait cautionner ce que Monsieur BRET et Madame CROZON font de leurs mandats : c'est-à-dire rien. En tout cas rien au service de leur ville, rien au service de ceux qui leur ont fait confiance, rien au service des Villeurbannaises et des Villeurbannais.

Je veux, avec vous, fort de vous, portée par vous, leur montrer que Villeurbanne appartient aux Villeurbannais et que c’est améliorer le quotidien des Villeurbannais qui nous guide à chaque instant.

Ensemble nous pouvons faire gagner le renouveau et le renouvellement de la vie politique à Villeurbanne. Ensemble nous pouvons offrir aux Villeurbannais une alternance que beaucoup espèrent sans encore oser franchir le pas, tant il est parfois difficile de changer, surtout dans les temps difficiles que nous connaissons actuellement.
Ensemble nous pouvons redonner espoir aux Villeurbannais, en leur montrant que contrairement à ce que défendent nos adversaires, il n’y a pas de fatalité.

Notre ville est riche de potentialités formidables, de talents innombrables, d’envies, d’audaces, d’énergies qui ne demandent qu’à être soutenues et encouragées et non bridées.

Le Député est un ambassadeur. Il est un facilitateur qui doit être à l’écoute permanente de ses concitoyens et faire le lien entre les différents acteurs pour que naissent les projets, pour que les problèmes trouvent leurs solutions : à Villeurbanne, à Lyon ou à Paris.

Je veux remplir cette tâche en étant Députée à plein temps. En faisant passer les impératifs de ma mission avant les avantages de la fonction. Je ne candidate pas à un statut mais à un engagement. Si les Villeurbannais me font confiance j’agirai avec eux et pour eux. Tout le temps et passionnément.

Mes combats seront ceux du quotidien et de la lutte contre la crise et ce à travers 3 priorités : la sécurité, le logement et l’emploi à travers le développement d’un tissu économique local.

La sécurité : elle est la première des libertés. Quelle qualité de vie sans sécurité ? Quelle vie familiale sans sécurité ? Quelle activité économique sans sécurité ? Quelle éducation pour les enfants sans sécurité ? La puissance publique doit remplir son rôle pour que la loi du plus fort sur le plus faible n’ait plus le droit de citer dans nos rues, dans nos parcs, aux pieds de nos immeubles, dans les transports publics, à la sortie de nos lieux de culte… Là où Monsieur BRET et Madame CROZON proposent dogme et angélisme, je propose pragmatisme et responsabilité. L’insécurité ne cesse d’augmenter à Villeurbanne et le budget consacré à la combattre ne cesse de baisser ou stagner. Les socialistes consacrent aujourd’hui moins de 4% du budget municipal à vous protéger. C’est un combat permanent que nous menons au Conseil Municipal au sein du groupe auquel j’appartiens et présidé par Henry CHABERT. L’immonde agression survenue la semaine dernière montre que tout ceci n’est pas que parole, mais bien une réalité. Pendant que le Maire ou la Députée sont en sûreté dans leurs bureaux, vous êtres vulnérables et c’est ce que je n’accepte plus pour les Villeurbannaises et les Villeurbannais.

En France et en particulier depuis 2007, beaucoup a été fait pour accroître la sécurité des Français. La délinquance y a globalement baissé de 8%.
Depuis 2002, la baisse est de 17%, dont 40% d’homicides en moins, 12% de violences sexuelles en moins, 29% d’atteintes aux biens en moins, alors que la population française a augmenté de 3,2 millions d’habitants sur la même période.
Le taux d’élucidation des affaires signalées aux services de police et de gendarmerie était de 26% en 2002. Il est aujourd’hui de 39%.
En dix ans, la mortalité et l’insécurité routières, ne l’oublions pas, car c’est aussi une forme d’insécurité, ont été divisées par 2.
32 000 vies ont été épargnées en 5 ans.
Comment pourrions-nous accepter que Villeurbanne demeure dans l’insécurité totale, uniquement parce que ce n’est pas la priorité, ou disons le autrement la  tasse de thé de la gauche locale.

Et comment pourrions-nous accepter que celle-ci demeure aux responsabilités et en prenne éventuellement sur le plan national, alors qu’elle n’a rien prévu dans son programme pour vous protéger, vos enfants et vous-mêmes, et rejette tout développement de la vidéoprotection, sur le simple fondement de ses blocages idéologiques ?

Que nous promet-elle, cette gauche donneuse de leçons ?
Elle nous promet simplement un retour à la gestion du gouvernement Jospin, sous lequel la délinquance a progressé de 18% et les violences aux personnes de 70%.

Dans ce domaine, il ne nous faut pas stagner ou régresser. Il nous faut persévérer.

Le logement : il est un droit, et il est de la responsabilité des élus locaux et des parlementaires de s’engager pour que les habitants de leurs circonscriptions puissent se loger et vivre dans la dignité. Si je suis élue Députée de la 6e circonscription, je serai mobilisée à fond, je donnerai le maximum de moi-même pour que se construisent de nouveaux logements, c’était le sens de notre proposition de 30% de constructions supplémentaires pendant la présidentielle. Il faut également construire des logements à coûts maîtrisés pour les classes moyennes. Enfin, il faut que se développe l’accession sociale à la propriété. Notre ville a pris un retard considérable sur tous ces chantiers.
Là encore, le courage fait cruellement défaut à la gauche et à mon adversaire socialiste en particulier.
Si vous cherchez dans son programme quelque signe dans le sens d’une lutte contre le « mal logement », vous n’en trouverez aucun.
Aucun à la mesure des 600 000 ménages supplémentaires devenus en France propriétaires de leur logement depuis 2007.
Aucun à la mesure de l’accession sociale à la propriété qui a permis, depuis 2007, une progression de 35% des ventes de HLM à leurs occupants, grâce au seul Etat. Les collectivités locales et notamment les bailleurs sociaux, dont les grandes communes et communautés dirigées par les socialistes sont les principaux actionnaires, n’ont pas rempli leur rôle, pour ne pas dire n’ont rien fait.
Ah si, ils ont augmenté les loyers des logements sociaux, une honte en temps de crise !
Aucun autre signe à la mesure de l’effort public de 40 milliards d’euros consacré chaque année depuis 2007 au logement, soit 27% de plus qu’auparavant et, malgré la crise, 25% de logements de plus construits qu’entre 1997 et 2002 !
Aucun signe à la mesure des 600 000 logements sociaux financés en 5 ans, soit 2 fois plus qu’entre 1997 et 2002 !
Aucun signe à la mesure de tous ces emplois sauvés dans le secteur de la construction, aucun à la mesure de tous ces EcoQuartiers que nous avons promu, aucun à la mesure de la rénovation urbaine dans laquelle l’Etat a investi 14 milliards d’euros sur plus de 500 quartiers délaissés.

A vrai dire, que promet la gauche ? Là encore, rien.
D’ailleurs, elle n’ose même pas, une fois n’est pas coutume, promettre quoi que ce soit sur ce point.
Pourquoi ? Tout simplement parce que, si entre 2007 et 2012, les prix moyens des loyers ont cru en France d’un peu plus de 5%, ils avaient progressé de 18% entre 1998 et 2002, et qu’ils nous préparent la même chose pour les 5 prochaines années !

Enfin, la priorité doit être donnée à l’emploi.
La France traverse depuis 2008 l’une des pires crises économiques et financières de son Histoire.
Les réformes et la mobilisation du précédent Gouvernement et de Nicolas SARKOZY ont permis de nous sauver du destin de la Grèce, de l’Espagne, du Portugal ou encore de l’Italie.
Il était cependant impossible de neutraliser immédiatement tous les effets de la crise et nombre de nos concitoyens ont été touchés par le chômage, par la désindustrialisation.
La solution ce n’est pas d’inventer des noms de ministères farfelus comme celui « du redressement productif ».
La solution c’est de développer les réseaux économiques locaux, composés par les TPE et PME. Ce n’est pas les écraser de fiscalité, ni écraser de fiscalité les classes moyennes qui leur correspondent et qui font vivre notre pays. Il est là le seul secret de la réussite de l’Allemagne !

Beaucoup a été fait en 5 années de lutte permanente contre la crise. Car pour lutter contre la crise et pour l’emploi, il faut lutter pour la croissance et pour le pouvoir d’achat :
-         Le sauvetage de notre système bancaire, qui permet le financement de nos investissements productifs et de notre consommation
-         4 millions d’emplois salariés dans l’automobile et le bâtiment sauvés par des mesures exceptionnelles
-         34 milliards d’euros, issus du Plan de Relance, bénéficiant à près de 1 500 projets, sauvant directement plus d’1 million d’emplois
-         35 milliards d’euros d’Investissements d’avenir dotant notre enseignement supérieur et notre recherche (19 milliards), nos filières industrielles et nos PME (7 milliards), les secteurs du développement durable et de l’énergie (5 milliards) et le numérique (4 milliards).
-         Les aides à la consommation, qui n’ont pas été oubliées : 4 millions de foyers ont vu leurs 2ème et 3ème tiers provisionnels d’imposition pour 2009 supprimés. 3 millions de familles modestes ont reçu une prime de 150 euros, des versements anticipés du RSA ont été effectué en avril 2009, des bons d’achat de 200 euros de services à la personne ont été distribués, soit un total de plus de 2,5 milliards d’euros de pouvoir d’achat en plus pour les plus modestes
-         Les droits des demandeurs d’emploi ont été améliorés dès avril 2009, avec la nécessité d’avoir travaillé 4 mois (contre 6 auparavant) pour bénéficier de l’allocation chômage.
-         Près de 2 milliards d’euros ont été mobilisés en plus pour la formation des demandeurs d’emploi, et notamment ceux arrivant en fin de droits
-         1,2 million d’embauches grâce au « zéro charge » pour l’embauche d’un salarié dans les très petites entreprises.
-         C’est aussi la loi TEPA, qui a profité à près de 10 millions de salariés qui ont bénéficié d’un gain annuel moyen de 500 euros grâce aux heures supplémentaires exonérées. Pour un salarié au SMIC, 4h supplémentaires chaque semaine ont représenté un gain net d’impôt de 1 900 euros par an.
-         95% des Français ont été exonérés de droits de succession, toujours grâce à cette grande loi
-         Le RSA a permis à 150 000 Français de sortir de la pauvreté et a été étendu aux jeunes actifs de moins de 25 ans
-         4 milliards d’euros de Crédit Impôt Recherche ont été instaurés au profit des entreprises qui innovent (dont 8 000 PME)
-         La suppression de la taxe professionnelle a allégé de 5 milliards d’euros les charges de nos entreprises
-         Le Label « Origine France Garantie » identifie les produits dont au moins 50% de la valeur ajoutée a été produite en France
-         Parallèlement, notre économie est devenue de plus en plus propre :
o      nos émissions de gaz à effet de serre, à coup de mesures multiples, sont désormais inférieures de 10% à celles de 1990
o      L’objectif « 23% d’énergies renouvelables en 2020 » a été fixé partout en Europe, à l’initiative de la France et sur la base de plus de 30 milliards d’euros d’investissements intérieurs et extérieurs.
Aujourd’hui, en France, nous sommes déjà à 13%.
o      Le parc solaire a été multiplié par 30 et le parc éolien multiplié par 5
o      500 millions d’euros par an ont été investis au profit de la recherche pour les énergies renouvelables.
o      3,5 milliards de travaux ont été réalisés, notamment grâce à l’éco-prêt à taux 0, pour renforcer l’efficacité énergétique des bâtiments
o      Nos automobiles rejettent désormais 12% de CO2 de moins qu’en 2007
-         La politique de l’emploi a été dotée de moyens sans précédent, à hauteur de plus de 13 milliards d’euros par an
-         Un plan pour l’emploi des jeunes a été doté de près de 2 milliards d’euros, autour du « zéro charge apprenti », du soutien à l’alternance et aux contrats d’apprentissage et de professionnalisation
-         Les filières professionnelles comptent désormais 20% de lycéens de plus qu’en 2008
-         Penser à l’économie, c’est aussi pour penser au social :
o      Notre système de retraite par répartition et solidarité intergénérationnelle a été sauvé, alors qu’il reposait avant sur le financement d’une retraite sur 10 par la dette !
o      Tous les minima sociaux (SMIC, allocation adulte handicapé, minimum vieillesse etc.) ont connu une progression de 25 à 30% entre 2007 et 2012.
o      170 millions d’euros ont été investis par l’Etat dans l’hébergement d’urgence
o      La scolarisation des enfants handicapés en milieu ordinaire a progressé de 60% depuis 2005
o      La lutte contre les fraudes fiscales et à la sécurité sociale a permis de réinjecter près de 70 milliards d’euros dans notre système depuis 2007. L’augmentation des condamnations de fraudeurs à la sécurité sociale depuis 2007 est de l’ordre de 70% !
o      Une taxe sur les transactions financières devait entrer en vigueur au mois d’août, au taux de 0,1%

Nous devons poursuivre nos efforts, aller plus loin, avec un impératif impérieux : la réduction de nos déficits et de notre dette publique, pour les générations futures et leurs conditions de vie.
Et ce, par le soutien à notre appareil productif, par la croissance, par l’emploi et par le pouvoir d’achat, et non par une hausse de la fiscalité et une France des petits boulots ou des emplois jeunes !
Or, c’est ce que nous promet la gauche, qui, par ailleurs, ne chiffre rien, et surtout pas ce qu’elle s’apprête à prélever sur notre dos, sur votre dos de multiples manières !

Le rôle du Député est, enfin, de faire rayonner son territoire, de promouvoir le rayonnement de la France, de rencontrer les acteurs institutionnels, économiques et consulaires pour favoriser l’implantation d’entreprises sur sa circonscription. Il est aussi là pour aider les entrepreneurs, les artisans, à trouver des partenaires et des financeurs.
C’est avec tristesse que je constate chaque jour que ceux qui sont désormais aujourd’hui en responsabilité, depuis quelques semaines, ne se sentent pas investis de cette mission.

2.     LA REPUBLIQUE

Dimanche prochain, s’écrira également une page importante pour ce bien si précieux que nous avons en partage : la République. La République pour laquelle je m’engage, c’est celle de l’équilibre des pouvoirs et de la diversité des opinions ! Pas une République où la concubine du Président peut désigner ses favoris aux élections législatives.

Dimanche prochain en votant pour moi vous refuserez les pleins pouvoirs à un parti unique !

Le Président de la République est socialiste ; le Gouvernement est socialiste ; la Cour des Comptes est présidée par un socialiste ; la grande majorité des grandes villes et départements sont socialistes ; 25 régions sur 26 sont socialistes, beaucoup de relais d’opinion sont socialistes. Le Sénat est socialiste.

Le 2e tour de cette élection législative est notre dernière occasion d’empêcher la concentration des pouvoirs entre les mains d’un clan et d’un seul parti qui ne cesse de faire la preuve de son sectarisme, en plus de son incapacité à agir.

La République a besoin d’équilibre des pouvoirs et de diversité.
A Villeurbanne nous le savons mieux que nulle part ailleurs, les dominations partisanes ne produisent rien de bon.
C’est pour cela que je demande aux Villeurbannaises et aux Villeurbannais de me faire confiance pour incarner une opposition constructive et vigilante au Parlement.

Si l’UMP et ses alliés devaient échouer à remporter la majorité à l’Assemblée Nationale, dimanche, l’enjeu serait avant tout de priver les socialistes de la majorité des 3/5 des sièges qui leur permettrait de modifier comme bon leur semble notre Constitution et de mettre en place le droit de vote des étrangers : porte grande ouverte vers le communautarisme et le clientélisme.

L’heure n’est pas à rejouer l’élection présidentielle mais à protéger le futur de la France et de la République. Refusons l’Etat PS et ses pratiques bien connues à Marseille, dans le Nord et ailleurs …
Voter pour les candidats de la droite et du centre, dimanche, c’est faire le choix de la France et de l’intérêt général avant les intérêts partisans.

3.     LA FRANCE

Enfin, j’aimerai parler de la France. La France, ce beau pays riche de sa diversité et de plusieurs siècles d’Histoire.
Cette France héritière du Général DE GAULLE, qui a une vocation en Europe et dans le Monde.
Cette France qui n’est fidèle à elle-même que dans la grandeur, le courage et la responsabilité.

Nous faisons aujourd’hui face à une crise économique sans précédent. Nous devons tenir notre rang pour nous désendetter, permettre le retour de la croissance et assurer le futur de nos emplois et de nos enfants.

Créer 60.000 postes de fonctionnaires et repousser l’âge de départ à la retraite revient à ruiner la France et hypothéquer son avenir. Assommer les classes moyennes par la création de dizaines de nouvelles taxes et impôts c’est asphyxier la reprise économique. Creuser les déficits c’est renier nos engagements européens et briser la coopération avec l’Allemagne qui nous a permis de tenir bon jusqu’à présent.

Accorder davantage d’attention aux criminels qu’à leurs victimes, refuser la justice des mineurs et faire l’apologie de la consommation de drogues comme le cannabis vont à l’inverse du rôle de l’Etat qui est celui de la justice et de la protection des plus vulnérables.

Se retirer unilatéralement d’Afghanistan en mépris de nos engagements internationaux, avant de proposer une intervention en Syrie sans concertation, montrent le danger que le nouveau Président fait peser sur la voix et le poids de la France dans le Monde alors que notre pays a retrouvé une place centrale dans le concert des Nations avec la résolution de la crise entre la Russie et la Géorgie, le sauvetage de l’euro, les interventions en Côte d’Ivoire, en Libye…

Tous ces exemples démontrent, et nous le constatons hélas à Villeurbanne, que les socialistes cherchent à entretenir les pauvretés et les faiblesses à des fins électorales. Ils démontrent qu’entre le Parti Socialiste et la France, c’est toujours leur clan qu’ils choisiront. Ils démontrent qu’entre la réalité et les lunes du socialisme ils choisiront toujours les lubies.

Le projet de l’UMP, mon projet, est un projet basé sur la responsabilité budgétaire par la lutte contre les déficits ; il vise le soutien aux entrepreneurs et au tissu économique local, notamment à travers une fiscalité allégée et protectrice avec l’introduction de la taxe anti- délocalisations.
Le projet de l’UMP, mon projet, fait de la sécurité et du droit à la justice des libertés fondamentales.
Il fait de l’éducation, de la recherche et de l’enseignement supérieur des priorités dans la suite de la loi sur l’autonomie des universités. Enfin, il s’assure que la France demeure cette grande nation, lanterne de la démocratie et des droits de l’Homme dans le monde.


Il n’y a pas de fatalité à voter à gauche dans notre ville. Il n’y a pas de fatalité à ce que nos concitoyens villeurbannais soient mal représentés, à ce que vous soyez mal représentés.
Notre circonscription est unique et ma motivation inébranlable. Je veux remercier tous ceux qui m’ont entouré, accompagnée pendant cette campagne. Tous les militants, tous les élus…

Nous avons fait cette campagne, fidèles à nos valeurs, à nos valeurs humanistes, en ne cherchant pas à mentir aux électeurs sur les défis qui sont ceux de la France. Nous avons parlé avec notre cœur.

Parlez autour de vous, portez ce message ! Plus que jamais j’y crois !
L’abstention, dimanche dernier, montre qu’il n’y a pas une soif de gauche et de socialisme !
En passant les 3 prochains jours sur le terrain, à la rencontre des Villeurbannais, nous pourrons convaincre les abstentionnistes et les indécis, d’offrir à Villeurbanne une bouffée d’oxygène et de changement.

Dimanche, Villeurbanne a rendez-vous avec le renouveau !
Merci à vous !
Vive Villeurbanne, Vive la République et Vive la France !


mercredi 13 juin 2012

Réunion publique d'Emmanuelle Haziza pour le second tour des élections législatives, le jeudi 14 juin à 20h au CCVA de Villeurbanne.

Mobilisation générale pour le 2nd tour


Je  vous invite à une GRANDE REUNION PUBLIQUE au CENTRE CULTUREL ET DE LA VIE ASSOCIATIVE DE VILLEURBANNE (CCVA).

(234 cours Emile Zola (Métro FLACHET – Ligne A)


Ce Jeudi 14 juin 2012 à  partir de 20h. 

Cette réunion me permettra de vous expliquer mes propositions, ma vision de Villeurbanne et de notre Nation.

Venez nombreux, en famille ou entre amis pour ce moment d'échange républicain !

Emmanuelle HAZIZA
Conseillère Municipale de Villeurbanne
Candidate de l'UMP aux élections législatives des 10 et 17 juin 2012

Article du journal le Progrès du jeudi 14 juin 2012 :











Ma profession de foi pour le second tour des législatives du dimanche 17 juin 2012.


mardi 12 juin 2012

Mon affiche pour le second tour de ce dimanche 17 juin 2012 "Ensemble construisons la France de demain"

les enjeux du second tour « Tout est possible au second tour si les électeurs le veulent »



Législatives.Arrivée très largement en tête dimanche et disposant de réserves de voix à gauche, la députée sortante PS part favorite. Mais la candidate UMP ne baisse pas les bras.

Avec 42,53 % des voix, la députée socialiste sortante Pascale Crozon pouvait avoir le sourire, dimanche au soir du premier tour de l’élection législative dans la 6 e circonscription du Rhône. C’est 16,69 points de plus que lors du premier tour de 2007. À l’époque, la dissidence de Lilian Zanchi avait coûté 8,97 % des voix à la gauche. Mais, même si l’on additionne le score Crozon/Zanchi de la précédente élection, le PS villeurbannais a encore gagné des électeurs (plus de 3 000). Dans un contexte de faible participation, ce n’est pas une mince affaire. « Cet excellent résultat doit être amplifié au second tour pour assurer notre victoire », juge quand même Pascale Crozon, qui appelle à la mobilisation.

Il est symptomatique de noter que le nombre de votants est quasiment le même entre 2007 et 2012, alors que les listes électorales comptent 4 000 inscrits de plus à Villeurbanne. Ce qui se traduit par une forte hausse de l’abstention, de 43,95 % en 2007 à 47,12 % avant-hier.

Pour Emmanuelle Haziza, être au second tour s’apparente à une victoire à la Pyrrhus. Certes, elle se maintient et reste loin devant le Front national, mais elle perd 12,5 points par rapport à Henry Chabert il y a cinq ans (24,30 % contre 36,78 %). C’est surtout un déficit énorme de 5 212 voix. Elle tente pourtant la méthode Coué en martelant que « Tout est possible au second si les électeurs le veulent », et qu’elle « espère bien créer la surprise ». Elle n’a pourtant pas ou peu de réservoir de voix. L’alliance centriste et radicale autour d’Elvire Cruz a réalisé un score minime (1,28 %), loin des 11,18 % de Richard Morales en 2007.

Une bonne partie des voix qui ont manqué à la candidate UMP est allée à Stéphane Poncet. Si le candidat du Front national n’a pas réussi son pari d’être au second tour, il a tout de même réalisé un bon score à 15,02 % (seulement 4,63 % en 2007). Durant la campagne, il n’a cessé d’égratigner la candidate UMP et avait déjà prévenu qu’il n’appellerait pas à voter pour elle si elle se maintenait au second tour.

À gauche, Pascale Crozon peut compter sur le soutien d’Europe Écologie Les Verts. Leur candidat, Vincent Morland (6,03 %), s’en sort mieux que Béatrice Vessiller en 2007, dans un contexte post-Présidentielle tendu pour les écologistes.
Le Front de Gauche n’a, par contre, pas réussi à surfer sur son résultat de la Présidentielle (12,87 %), même s’il réalise un bon score à 7,50 %, qui le positionne en 4 e force politique sur la ville.

Zaïr Meziani appelle également à voter Pascale Crozon. Le candidat de l’Alliance écologiste indépendante n’a pas eu de chance : une erreur de l’imprimeur sur ses bulletins de vote a finalement empêché la distribution de ses professions de foi. « Pour le principe, je vais déposer un recours. Cela ne changera pas le cours de l’élection, mais il ne faut pas que ce genre de problème se reproduise ».

Communiqué de presse
« TOUT EST POSSIBLE AU 2nd TOUR SI LES ELECTEURS LE VEULENT »


Tel est le credo d’Emmanuelle HAZIZA, candidate UMP aux élections législatives à Villeurbanne (6ème circonscription du Rhône), pour cette ultime semaine de campagne jusqu’au dimanche 17 juin, jour du 2ème tour.
Ayant réuni au 1er tour près de 10 000 voix, soit 24,3% des suffrages exprimés, Emmanuelle HAZIZA, qui retrouvera la sortante PS Pascale CROZON au 2nd tour, espère bien créer la surprise.

« Je remercie tous les Villeurbannais qui ont voté pour moi au premier tour, les remerciant de leur confiance et les invitant à renouveler avec détermination leur geste, dimanche 17 juin, pour l’avenir de Villeurbanne. Et j’appelle, dans le même sens, toutes celles et tous ceux qui se sont abstenus au premier tour ou ont voté pour un candidat non présent au second tour à me soutenir dans ma démarche et m’apporter leur suffrage au second tour », lance Emmanuelle HAZIZA.
« Je suis désormais la seule candidate du renouvellement et du changement à Villeurbanne dans cette élection et je compte bien le faire valoir dans l’intérêt général. Soucieuse pour nos finances publiques et pour la fiscalité qui risque d’accabler très rapidement beaucoup de Français, pour la croissance et pour nos emplois qu’il convient de défendre, pour notre sécurité, notre tranquillité et notre cadre de vie, j’appelle tous celles et tous ceux qui ne veulent plus d’une politique socialiste, dont nous connaissons bien les tenants et les aboutissants, à s’unir, à Villeurbanne et aujourd’hui, derrière moi. Il faut envoyer un signe fort à l’Assemblée nationale, et à un système local qui veut tous les pouvoirs et n’a pourtant rien fait pour protéger Villeurbanne et promouvoir sa croissance depuis 40 ans », conclut la candidate.